
ATTENTION : L’article suivant contient énormément de spoilers sur les quêtes d’Archons suivantes : Prologue Acte I : Chap I, Chap II & Chap III et la quête de Venti : Carmen Dei : Acte I. Vous êtes avertis !
Sur les collines sifflantes de Mondstadt aime se balader un jeune barde à la mine frêle et insouciante. Lorsque ses rimes résonnantes effleurent le public attentif, celui-ci ne peut s’empêcher de reconnaître ses valeurs insoupçonnées dignes des poèmes qui s’étendent sur des millénaires. Il serait absurde de croire qu’un tel lot de savoir peut se dissimuler derrière le visage si enfantin du poète Venti. Mais sachez que le vent s’abreuve de ses paroles car celles-ci sont capables de déplacer monts et falaises…
Caractère
Venti est un personnage décontracté qui aime jouer de la lyre dans les tavernes environnantes de Mondstadt. Altruiste et comique, il n’est pas étonnant qu’il s’attire parfois les bonnes grâces de son public tel que du bon vin qui le carbure lors de ses prestations. En réalité, ses séances de poésies ne sont qu’un stratagème pour obtenir de l’alcool et ainsi se saouler à volonté car son apparence de mineur trahit ses requêtes dignes d’un bon ivrogne de table. Sous cet aspect terni, Venti apparait comme un individu qui se laisse aller et qui ne se prend jamais au sérieux, cependant les bouteilles de vin qu’il vide sur sa scène de travail semblent noyer un chagrin lointain.

Origines

Sous ce visage frivole se cache le dieu du vent, l’Archon Anemo tant acclamé par le peuple de Mondstadt : Barbatos. Il y a 2600 ans, alors que la guerre des Archons suivait toujours son cours, un jeune barde au nom inconnu fit la connaissance d’un simple esprit élémentaire : Venti. Les deux se lièrent d’amitié sous le règne de Décarabian : l’ancien Archon de Mondstadt, le dieu des tempêtes qui confina son peuple entre des murs de vent, le protégeant contre le froid létal d’Andrius : Le loup du Nord ( potentiel candidat au titre d’Archon à l’époque).
Le peuple de Mondstadt scellé entre les murs ressentait une tyrannie tacite venant de Décarabian qui jusqu’à là ne voulait qu’assurer la sécurité de son peuple. Un mouvement de révolte prit forme et de fil en aiguille anima le jeune barde épris de liberté. Venti s’allia donc à sa cause et le soutint lors de ses peines. Une guerre éclata contre Décarabian au cours de laquelle le barde agissant tel un galvaniseur de troupes fut criblé de flèches et succomba à ses blessures. Le peuple vainqueur se devait d’avoir un nouveau dirigeant et c’est ainsi que Venti portant secours au barde jusqu’à son dernier souffle prit le titre d’Archon et gagna en puissance. Il décida de prendre l’apparence de son fidèle ami de guerre : une façon de lui rendre hommage en jouant de la lyre qu’il aimait tant.




Suite à cette révolte, Venti coupa montagnes et falaises, balaya la neige environnante et fit de Mondstadt un havre de paix où s’écouleraient à foison le vin et l’esprit de la liberté tel qu’il l’a inculqué à son peuple.
Trame actuelle
Sur les pas du(de la) voyageur(euse), nous le découvrons en quête d’un remède contre le mal qui corrompt le dragon Dvalin, son fidèle compagon également connu en tant que l’un des quatre vents de Mondstadt. Il ne craint point de révéler sa véritable identité en cas de crise majeure : L’incident de Stormterror parle de lui même à l’instant où il mit son identité en jeu face à une sœur pour dérober sa lyre sacrée “Der Himmel” voulant dans son entreprise apaiser le cœur de Dvalin par sa mélodie.

Venti ne témoigne d’aucune retenue quand il s’agit d’être franc dans ses paroles, les aiguisant parfois d’une touche philosophique et poétique. L’événement le plus probant qu’il convient de relater est le duel verbal qui l’opposa à “La Signora” lorsque celle-ci s’empara de son “Gnosis” avec sang-froid.

Conclusion
Comique et à la fois énigmatique, Venti est un poète qui maîtrise le sens de la repartie. Il est – en compagine de l’Archon Geo : Morax – l’un des septs Archons originaux à avoir remporté la guerre des Archons. Compte tenu de sa longévité, Venti en sait plus sur le monde de Teyvat qu’il nous laisse croire…