Histoire de La Signora

ATTENTION : L’article suivant contient énormément de spoilers sur les quêtes d’Archons suivantes : Prologue Acte I : Chap III : Chanson du dragon et de la liberté et Chapitre II : Omniprésence : Acte III : Omniprésence sur les mortels ! Vous êtes avertis !

De tous les potentiels antagonistes de Genshin Impact, nul n’est aussi fourbe et malveillant que la clique des 11 exécuteurs Fatui dont se détache la sulfureuse “La Signora”. Possédant le titre de huitième exécutrice, elle préfère agir dans l’ombre pour mieux flamber ses proies sous un air manipulateur teinté de charme. Quoique puissante et dévouée à la digne philosophie de sa cheffe “La Tsaritsa“, La Signora porte en elle les brûlures d’un passé tragique qui jusqu’à sa perte flambèrent d’une justice aveugle et d’un amour enfoui.

Origines

Il y a de cela 500 ans, vivait à Mondstadt Rosalyne-Kruzchka Lohefalter, une jeune femme frêle, emportée par de pures aspirations. Elle y fit la connaissance d’un jeune chevalier de l’Ordre de Favonius nommé Rostam dont elle s’amouracha dans le bain de l’innocence. Les deux amants vécurent ainsi dans le Havre de la liberté, jusqu’au départ de Rosalyne à Sumeru où elle fut accepté à la Grande Académie de tout Teyvat. Il est révélé plus tard dans le set d’artéfacts “La Sorcière des Flammes Ardentes” qu’elle y étudiera l’art du feu liquide. Peu avant son départ, Rostam en guise de souvenir lui offrit un sablier duquel s’écoulait de l’eau et dont elle se servirait comme indicateur de tout le temps qu’elle passerait à l’Académie.

Le Cataclysme

En plein milieu de son cursus académique éclata une calamité majeure que les historiens de Teyvat nommèrent “Le Cataclysme“. Durant cet incident, la terre s’ouvrait en tout lieu et libérait une horde de monstres n’ayant que pour dégoût le genre humain. Tout au long de ce désespoir sans fin, les Sept Nations de Teyvat déployaient leurs forces sans relâche pour conjurer le mal jaillissant du peuple souterrain de Khaenri’ah. Vainqueurs de ce grand désastre, les Nations purgèrent les terres en éliminant les monstres des abysses encore sur pieds. C’est dans cette optique qu’une expédition fut menée par les chevaliers de Mondstadt, où Rostam y connut une fin tragique. Rosalyne de son côté s’apprêtait à rejoindre Mondstadt.

La Sorcière des Flammes Ardentes

De retour à Mondstadt et consciente de la mort de son bien aimé, Rosalyne hurla de rage et rejeta la faute sur l’irresponsabilité de l’Archon Anémo : Barbatos qui “plongea dans un long sommeil pour récupérer de ses blessures contre Durin : le dragon des ténèbres en compagnie de Dvalin“. Elle fit donc usage de connaissances occultes et sacrifia son corps de mortelle pour ne l’insuffler que du feu liquide. Inhumaine et résolue à rendre justice pour Rostam, elle tuait tout monstre sur son passage et malgré un tel exploit, les habitants de Mondstadt lui attribuèrent le qualificatif de “Sorcière” et la fuyaient, d’où son titre de “Sorcière des Flammes Ardentes“.

Recrutement chez les Fatui

À présumer que les événements qui suivent se sont déroulés lors de la restauration de Mondstadt sous le couvert diplomatique des Fatui, Pierro le premier exécuteur Fatui rencontra la “Sorcière” et lui prêta main forte en supprimant les flammes liquides de son corps grâce à un oeil maléfique Cryo, lui redonnant ainsi le peu d’humanité qui lui restait. Toutefois, elle devait payer ce regain de forme humaine en dévouant sa vie à la volonté de l’Archon Cryo : “La Tsaritsa” : celle de renverser le trône des dieux de Celestia. S’exilant à Snezhnaya, elle prit le titre de “La Signora” et occupa le rang de huitième exécutrice.

Implication actuelle

La Signora retourne à Mondstadt sous ordre de La Tsaritsa pour prendre “Le Gnosis” de Barbatos se cachant sous l’identité d’un barde du nom de “Venti“. Agissant avec discrétion de crainte que Mondstadt ne rompe ses liens avec Snezhnaya, elle déroba le Gnosis de Venti d’une brutalité glaciale qui montre qu’elle n’a point dégivré sa haine envers lui. Elle n’eut point d’interaction directe avec le(la) voyageur(euse) jusqu’à Liyue.

“La Signora s’emparant du Gnosis de Barbatos”

Sur les terres du souverain de la Roche, La Signora excella dans sa mission en obtenant le Gnosis de l’Archon Geo : “Morax” en utilisant ses talents de diplomate, cachant ainsi l’identité de “Zhongli” à Tartaglia, l’Onzième exécuteur. Elle ignora le(la) voyageur(euse) et le(la) considéra comme une infime menace.

Responsable du chaos politique à Inazuma, La Signora faillit à récupérer le Gnosis de l’Archon Electro : “Raiden Ei” qui n’est autre entre les mains de Scaramouche, le sixième exécuteur en fuite vers Sumeru. Présente au Tenshukaku de la Raiden Shogun, le(la) voyageur(euse) lui imposa un duel auquel il(elle) la vainquit. S’en suit une sentence abrupte exercée par Raiden Shogun à la suite de laquelle elle périt d’un éclair.

Conclusion

Tout au long de sa vie, Rosalyne s’est évertuée à brandir la flamme de la vengeance contre l’ordre divin au nom glorieux de La Tsaritsa et de son défunt amant Rostam. Embrassant la voie des flammes éternelles pour annihiler la corruption de sa terre d’accueil, elle n’avait cure du mépris de ses compères à son égard. Certes brave, ne s’est-elle pas donnée en proie à une rage inutile face au défilement implacable du destin ?

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ATTENTION : L’article suivant contient énormément de spoilers sur les quêtes d’Archons suivantes : Prologue Acte I : Chap III : Chanson du dragon et de la liberté et Chapitre II : Omniprésence : Acte III : Omniprésence sur les mortels ! Vous êtes avertis !

De tous les potentiels antagonistes de Genshin Impact, nul n’est aussi fourbe et malveillant que la clique des 11 exécuteurs Fatui dont se détache la sulfureuse “La Signora”. Possédant le titre de huitième exécutrice, elle préfère agir dans l’ombre pour mieux flamber ses proies sous un air manipulateur teinté de charme. Quoique puissante et dévouée à la digne philosophie de sa cheffe “La Tsaritsa“, La Signora porte en elle les brûlures d’un passé tragique qui jusqu’à sa perte flambèrent d’une justice aveugle et d’un amour enfoui.

Origines

Il y a de cela 500 ans, vivait à Mondstadt Rosalyne-Kruzchka Lohefalter, une jeune femme frêle, emportée par de pures aspirations. Elle y fit la connaissance d’un jeune chevalier de l’Ordre de Favonius nommé Rostam dont elle s’amouracha dans le bain de l’innocence. Les deux amants vécurent ainsi dans le Havre de la liberté, jusqu’au départ de Rosalyne à Sumeru où elle fut accepté à la Grande Académie de tout Teyvat. Il est révélé plus tard dans le set d’artéfacts “La Sorcière des Flammes Ardentes” qu’elle y étudiera l’art du feu liquide. Peu avant son départ, Rostam en guise de souvenir lui offrit un sablier duquel s’écoulait de l’eau et dont elle se servirait comme indicateur de tout le temps qu’elle passerait à l’Académie.

Le Cataclysme

En plein milieu de son cursus académique éclata une calamité majeure que les historiens de Teyvat nommèrent “Le Cataclysme“. Durant cet incident, la terre s’ouvrait en tout lieu et libérait une horde de monstres n’ayant que pour dégoût le genre humain. Tout au long de ce désespoir sans fin, les Sept Nations de Teyvat déployaient leurs forces sans relâche pour conjurer le mal jaillissant du peuple souterrain de Khaenri’ah. Vainqueurs de ce grand désastre, les Nations purgèrent les terres en éliminant les monstres des abysses encore sur pieds. C’est dans cette optique qu’une expédition fut menée par les chevaliers de Mondstadt, où Rostam y connut une fin tragique. Rosalyne de son côté s’apprêtait à rejoindre Mondstadt.

La Sorcière des Flammes Ardentes

De retour à Mondstadt et consciente de la mort de son bien aimé, Rosalyne hurla de rage et rejeta la faute sur l’irresponsabilité de l’Archon Anémo : Barbatos qui “plongea dans un long sommeil pour récupérer de ses blessures contre Durin : le dragon des ténèbres en compagnie de Dvalin“. Elle fit donc usage de connaissances occultes et sacrifia son corps de mortelle pour ne l’insuffler que du feu liquide. Inhumaine et résolue à rendre justice pour Rostam, elle tuait tout monstre sur son passage et malgré un tel exploit, les habitants de Mondstadt lui attribuèrent le qualificatif de “Sorcière” et la fuyaient, d’où son titre de “Sorcière des Flammes Ardentes“.

Recrutement chez les Fatui

À présumer que les événements qui suivent se sont déroulés lors de la restauration de Mondstadt sous le couvert diplomatique des Fatui, Pierro le premier exécuteur Fatui rencontra la “Sorcière” et lui prêta main forte en supprimant les flammes liquides de son corps grâce à un oeil maléfique Cryo, lui redonnant ainsi le peu d’humanité qui lui restait. Toutefois, elle devait payer ce regain de forme humaine en dévouant sa vie à la volonté de l’Archon Cryo : “La Tsaritsa” : celle de renverser le trône des dieux de Celestia. S’exilant à Snezhnaya, elle prit le titre de “La Signora” et occupa le rang de huitième exécutrice.

Implication actuelle

La Signora retourne à Mondstadt sous ordre de La Tsaritsa pour prendre “Le Gnosis” de Barbatos se cachant sous l’identité d’un barde du nom de “Venti“. Agissant avec discrétion de crainte que Mondstadt ne rompe ses liens avec Snezhnaya, elle déroba le Gnosis de Venti d’une brutalité glaciale qui montre qu’elle n’a point dégivré sa haine envers lui. Elle n’eut point d’interaction directe avec le(la) voyageur(euse) jusqu’à Liyue.

“La Signora s’emparant du Gnosis de Barbatos”

Sur les terres du souverain de la Roche, La Signora excella dans sa mission en obtenant le Gnosis de l’Archon Geo : “Morax” en utilisant ses talents de diplomate, cachant ainsi l’identité de “Zhongli” à Tartaglia, l’Onzième exécuteur. Elle ignora le(la) voyageur(euse) et le(la) considéra comme une infime menace.

Responsable du chaos politique à Inazuma, La Signora faillit à récupérer le Gnosis de l’Archon Electro : “Raiden Ei” qui n’est autre entre les mains de Scaramouche, le sixième exécuteur en fuite vers Sumeru. Présente au Tenshukaku de la Raiden Shogun, le(la) voyageur(euse) lui imposa un duel auquel il(elle) la vainquit. S’en suit une sentence abrupte exercée par Raiden Shogun à la suite de laquelle elle périt d’un éclair.

Conclusion

Tout au long de sa vie, Rosalyne s’est évertuée à brandir la flamme de la vengeance contre l’ordre divin au nom glorieux de La Tsaritsa et de son défunt amant Rostam. Embrassant la voie des flammes éternelles pour annihiler la corruption de sa terre d’accueil, elle n’avait cure du mépris de ses compères à son égard. Certes brave, ne s’est-elle pas donnée en proie à une rage inutile face au défilement implacable du destin ?

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